-
Ou est passé cette ardeur
Je n ai vraiment plus le cœur
Je suis tellement fatiguée
Les matins semblent sans fin
Je n'arrive plus à me lever
Pour préparer un pt déjeuner
Je vois un tunel sans fin
Ou un gouffre sans moindre lueur
Je me soucis pour mes enfants
Qu'ils aient une mére comme moi
Aussi dégradée par le temps
Mais je suis vraiment trop lasse
Je me sent déperrir
Et lentement mourir
Je suis a bout de vraiment tout
J'espérais encore un droit au bonheur
Une autre petite chance pour un peu de calme
Les plaisirs d'une mamie avant de partir
Mais je ne vie que de souffrance
De plus en plus a chaque jour
Sans que le temps n'aténu rien
Je n ai plus cette force
Qui fait bomber le torce
Je n'ai qu'une haine à mon encontre
Qui fait sa propre loi
Je ne parle plus je m'enlise
En oubliant entièrement ce refrain
Qui me donnait de la force et du courage
A quoi me sert il de vivre
Dans cet immense désert qui m'entoure
Vivant comme un zombi ou comme un automate
De cette douleur au fond de moi,
Personne ne se doute de rien
Des nuits seule dans mes draps
Avec ces cris que j'étouffe à chaque fois
Des jours seule sous un toît
Provisoire à chaque fois et qui n'est pas moi
Je marche seule dans les rues
Sans personne qui m'accompagne
Sans aucun but et sans joie
Chutt ! Je n'ai rien droit de dire
De cette souffrence qui vie en moi
Personne n’est là, à mes cotés
Pour parler, rire ou pleurer
Et cette solitude qui ne cesse de me coller
Envahissante inlassable et fidèle
Avec cette voix qui murmure
Je suis seule, je me perd
Allongée sur mon lit, épuisée
J’ais les idées brouillées, tout devient confus
Je m’accroche à mon oreiller
Je voudrais dormir, me reposer
Me reposer et dormir
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles
Suivre le flux RSS des commentaires